Ah ! la charmante chose
Quitter un pays morose
———Pour Paris
———Paris joli
———Qu'un jour
Dut créer l'Amour
Ah ! la charmante chose
Quitter un pays morose
———Pour Paris
but above all Anna Mouglalis
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Souvent même, elle mettait entre ses dents le tuyau d’une grosse pipe qui était sur la table de nuit, parmi des citrons et des morceaux de sucre, près d’une carafe d’eau.
Le patron était absent ; il jeta un coup d’œil sur les dossiers, puis se tailla une plume, prit enfin son chapeau et s’en alla.
L’air, passant par le dessous de la porte, poussait un peu de poussière sur les dalles ; il la regardait se traîner, et il entendait seulement le battement intérieur de sa tête, avec le cri d’une poule, au loin, qui pondait dans les cours.
Le bleu du ciel l’envahissait, l’air circulait dans sa tête creuse, elle n’avait qu’à céder, qu’à se laisser prendre ; et le ronflement du tour ne discontinuait pas, comme une voix furieuse qui l’appelait.
Les jeunes beaux se pavanaient au parquet, étalant, dans l’ouverture de leur gilet, leur cravate rose ou vert pomme ; et madame Bovary les admirait d’en haut, appuyant sur des badines à pomme d’or la paume tendue de leurs gants jaunes.
Elle remarqua ses ongles, qui étaient plus longs qu’on ne les portait à Yonville. C’était une des grandes occupations du clerc que de les entretenir ; et il gardait, à cet usage, un canif tout particulier dans son écritoire.
Elle se dégagea, pour lui, des qualités charnelles dont il n’avait rien à obtenir ; et elle alla, dans son cœur, montant toujours et s’en détachant, à la manière magnifique d’une apothéose qui s’envole.
Il se meubla, dans sa [ page ]tête, un appartement. Il y mènerait une vie d’artiste !
Les bâtons se terminant en flèche, les patères de cuivre et les grosses boules de chenets reluisaient tout à coup, si le soleil entrait.
Et ainsi de suite…Merci Monsieur F