avant même le sommaire
deux tiers de publicité (directe)
un tiers de publicité (indirecte)
louboutin
YSL
et CHANEL
sont seuls visibles
David Hicks aussi bien sûr
sans nouvelles
de mon très cher Herr
quid ?
but above all Anna Mouglalis
Charles, vous viendrez me voir à la fin du cours ?
J'ai vois bien que vous êtes très fin, mais également très paresseux. C'est dommage. Moi ça m'ennuie de vous mettre six tout le temps, je vois bien que vous valez plus. Et en plus j'ai comme l'impression que vous ne travaillez pas par un certain esthétisme aristocratique, un mépris pour mettre les mains dans le cambouïs...
on sent naître l'envie du nouvel avenir
les pensées s'enchevêtrent et plongent dans l'eau noire
les anciens condamnés sont tragiquement tués
et là choit la contradiction de bronze
tu seras condamnée à vivre belle et jeune
souple souffle souffre source sourde
les moments in[vert]sés rêvent d'une nouvelle blancheur
telle est la mission qui conduit les boutons de la politique
profitez des séducteurs rendez le meilleur à l'homme et le plus beau à la femme
soyons émus la chance nous dit d'abroger l'eau
discourons devisons arguons débattons
c'est en allant à la méchanceté qu'ils les entoureront
il y en a
je le sais je les ai vues
elles sont blanchesfroides mais lissesminces
quand donc les cent cinquante androgynes survivront
arrêtons de parler rien qu'une heure allongée
— Quelqu'un sait ce qu'est un holorime ?
— Oui.
— Tu peux nous donner un exemple ?
— La chaleur m'use, lâcha leur muse.
— Ah c'est beau ! De qui est•ce ?
— Un illustre inconnu
Essai d'un pangramme alexandrin :
Moi : bâchez les vieux pyjamas qui gardent le wok fou
Lord Nudle : le bruit des wagons me cache vos voix, allez•y, je klaxonne !
Holorimes :
Lâche et luisant verre de vin
Là, chez lui, sans ver, devin (Lord Nudle)
Apolline erre dans ses champs ténus
Apollinaire danse et chantait, nu.
Ma larme éteint tes yeux
Mallarmé est un taiseux
Essuie•moi
Et suis•moi
Suce Allah le Prophète !
Sus à la lèpre ! Au fait !
J'ai perdu mon dentier
J'ai peur du monde entier (Jaël)
Kant alarmé éludait ses vices.
Quant à l'armée, elle eut des sévices.
Longtemps l'on a cru que l'Artiste était divin car il créait des œuvres comme Dieu créa la Terre. Mais là n'est pas la vrai unité qui les relie. L'Artiste est divin, car ce qu'il crée prend le Temps, lui tord le cou, pour vivre immobile et toujours. Une œuvre d'art est quelque chose d'ancré dans le Temps qui abolit le Temps. Tel Dieu qui n'est ni né ni mort, mais est seulement.