DÉSORMAIS MON BLOG CHANGE D'ADRESSE : IL EST


le palmipède

la course de char en contre•plongée

un nuage

une prison

un conduit d'aération

moïse accueillant ses amis

un port USB religieux

Digital

videotape

La peste
de Camus

Vendredi

Seulement deux heures de philosophie, et voilà la duchesse de Guermantes qui arrive au bout du couloir avec langue•de•pute, et oh surprise la duchesse a son pull bleu quasi Klein qui lui sied si bien et oh miracle du mascara et de l'ombre à paupières et oh putain une clé autour de son cou est•ce un message subliminal ??

La fin de l'année

I've removed 100 facebook friends

Tennis players are bad

il ne faut pas se désunir


COMMUNICATION

ONLINE FRIENDS (31)

A TWO HOURS LONG CALL

WITH LADY SWEET CAROLINE

AND THE GODFATHER

AH CACA GROS BUG SYNTAX ERROR GRAMADU

Tout va mal mais moi je vais bien

1. En allemand la professeure ou le professeur ou la professeur je ne saurais donc jamais m'a dit que j'avais bien compris la psychologie de Kafka. Merde

2. Il pleut au mois de mai et ça saoule.

3. Pichou m'a fait chier avec son porte•manteaux.

4. J'ai mis un pull en cachemire —oui je sais on écrit cashemeere normalement— alors qu'il fait 20°C.

5. Sydney Pollack est mort, regardez Tootsie si ce n'est déjà fait, dans lequel Dustin Hoffman joue Michael Dorsey qui joue Dorothy qui joue Felicity c'est unbelievable but true, il y a même Bill Murray.

En hommage à Pierre Desproges

Je hais le film étirable. Quand ma mère me dit tiens filme les haricots s'il te plaît je cherche une caméra, parce que je n'ai jamais le réflexe de me dire qu'il me faut me contorsionner sous l'évier pour attraper le dit rouleau de film étirable. C'est parti : je prends le film, je l'étire, comme son nom l'indique vicieusement, et je m'apprête à le découper sur les dents prévues à cet effet. Et là bordel à queue, il ne se découpe pas, mais s'étend, s'étend, comme l'indique trop son putain d'épithète. Résultat, je ne filme rien, je ne peux même pas me défouler sur le film —j'aime bien casser ce qui m'énerve— parce qu'il me colle à la peau, look coco, pardon, et qu'il ne se déchire pas.

Deuxième chose : je hais la deuxième pub Nespresso. Déjà il y a la musique lounge pénible genre Les Feux de l'Amour et Georges Clooney qui se tape un café dans une boutique car il n'a pas de quoi se payer la machine. Derrière lui, une conasse genre Isabelle Adjani veut la même chose, alors que son sac coûte au moins trois fois une machine à café. Et là l'ego de surdimensionné de Georges rentre en scène, accompagné de moult rictus et autres distorsions faciales pas du tout en lien avec ce qu'il dit. Bref c'est la haine


élide

c'est deux funambules
sur un même fil
à leurs entrelacs
qui s'aim(ant)ent
je(u) dangereux

Quand la couleur fait la forme


La couleur est par excellence la partie de l’art qui détient le don magique. Alors que le sujet, la forme, la ligne s’adressent d’abord à la pensée, la couleur n’a aucun sens pour l’intelligence mais elle a tous les pouvoirs sur la sensibilité. » Delacroix.

La couleur est la vie. Un monde sans couleur est mort, sans relief. L’essentile est de mettre en valeur la couleur, au-delà des formes il convient de créer la mise en scène.
Une couleur ne se distingue pas nécessairement d’une autre. L’assempblage des couleurs fait qu’une couleur existe par rapport à une autre et qu’elle démultiplie les effets rencontrés.

La duplication d’une forme sous une déclinaison de couleurs fait création dans la mesure où cetteduplication crée la diversité.
En effet aucune des formes n’est semblable à une autre. Elle existe par elle-même du seul fait de sa singularité chromatique.
Pour preuve il est difficile voire impossible de rapprocher deux de ses images tant elles diffèrent les aunes des autres.
Pour preuve, il est douloureux de devoir choisir l’image qui se distingue des autres, de par ses harmonies ou ses contrastes.
Dès lors la mise en scène de des différentes images colorées créent l’évévenement , l’unique, le singulier.
Cependant l’œuvre finale est finie, délimitée par son cadre externe, comme pour symboliser l’immensité de la palette de l’artiste.

ce n'est pas de moi mais d'un ami peintre

LUNDI

ah merci pierre
la compagnie d'un compresseur
le bruit ou la chaleur
les calmes soirs d'été mes souvenirs s'effacent
c'est un alexandrin
malheureusement